• Aujourd'hui, il fallait que je fasse du rangement ! Toutes mes plantes médicinales étaient mélangés et c'était la tâche idéal avec ce temps de chiens. De gros nuages noirs laissaient tomber des goutes de pluie pas encore très grosses, mais ça n'allait pas tarder. Je sentais cette odeur qui annonçait la pluie, mais il n'y avait pas assez d’électricité dans l'air pour qu'un orage éclate, la seule chose que j'aimais c'était entendre ces gouttes tombées sur le sol de la forêt, sur les fougères et les troncs d'arbre. Ce n'était certainement pas ce temps, ni même ce bordel qui allait me mettre de mauvais humeur ! Et puis je pensais à autre chose. A cause de toute ce bazars, mon envie d'avoir un apprenti remonta à la surface. Si j'avais un apprenti, il pourrait m'aider à ranger ces plantes et je me sentirais moins seule dans cette antre, je pourrais parler avec lui, rire avec lui ... J'étais sociable et je passais la plupart de mon temps toute seule... voila ce qui m'attristais aujourd'hui.

• Je fis un petit soupir pour me motiver et avança vers le tas de feuilles. Avec ma patte je commença à séparer le plus gros en chaque tas, puis je remis quelques feuilles qui s'étaient égarées en les prenant entre mes crocs. Faisant attention à ne pas appuyer trop fort pour que la plante ne fasse pas effet sur moi ! Ce n'était pas le moment de tomber dans les pommes ou même de me mettre un goût bizarre dans la bouche. Puis j'entendis un chat se diriger vers mon antre, le bruit de ses pattes sur le sol mouillé faisait des /SPLASH/. Je fus contente de voir quelqu'un venir me voir.

Je me reveiller avec le bruit de fines goutes qui tombaient sur ma tanière. Je me levais, m'étirais puis je m'assis. Je fis ma toilette car je detester sentir l'humidité dans mon pelage. Mais cette pluie allait faire du bien à la forêt, après tous ces jours où il faisait une chaleur à creuver. Après avoir finis, je sortais de mon antre et me dirigeais vers le tas de gibier. Je regardais autour de moi et vis mon lieutenant en train de faire les patrouilles. En regardant le ciel je me dis que la patrouille de l'aube ne tarderais pas à rentrer. Je prenais une souris quand je me dis que ce serais plus agréable de mangeais à deux que seule. je me rebaissais pour prendre un campagnol en plus de ma souris. Je me retournais et allais rejoindre Lune du Léopard dans son antre. Mes pas faisait du bruit dans les flaques mais je n'essayer pas de me cacher. Je la trouvais en train de ranger ses herbes et autres remèdes. Je la regardais et vis qu'elle m'avais entendu.

Je lui donnais la proie puis je m'installais à ses côtés. La guérisseuse n'avait que trois lunes de moins que moi, nous avions donc grandis ensemble et nous entendions très bien. Nous mangeâmes notre gibier en parlant et en rigolant. Nous nous souvenâmes d'avant, quand nous étions apprenties. Nous parlâmes comme ça pendant un bon moment.

[Désolé j'ai vraiment pas d'idée et en plus j'ai pas vraiment de temps]